Assistance d’une Commission d'enquête internationale.
Une question très douloureuse inflige une énorme agonie envers la société libanaise ; le problème des Libanais victimes de séquestration, disparition imposée et une détention arbitraire dans les prisons atroces de la Syrie.
Depuis 1976, les forces syriennes au Liban avaient exécuté des détentions arbitraires et des séquestrations imposées contre des milliers de citoyens libanais. Ils avaient été illégalement transférés dans les prisons syriennes, avec la négligence totale des lois libanaises et internationales. Certains des détenus ont été libérés, d'autres sont morts suite à des tortures et exécutions illégales où a des maladies, le reste des survivants supporte toujours la cruauté des prisons syriennes.
Il est évident suite à des expériences passées et présentes que le gouvernement de la Syrie persistera à nier toutes les violations de droits de l'homme et il ne permettra aucune recherche sérieuse sur des milliers de cas, il n'y aura aucune solution au problème avant que le gouvernement syrien reconnaisse d'abord officiellement la présence des détenus libanais en Syrie, ensuite à assumer les responsabilités dans les principes de la transparence et de la justice.
Le 11 avril 2005, le plus long sit-in c’est organisé dans le Moyen-Orient et avait eu lieu en face de l'entrée principale de l’immeuble de l’ ESCWA à Beyrouth. Les mères, les soeurs et les épouses des victimes enlevées et incarcérés sont venues ensemble manifester exigeant la création d'une commission d'enquête internationale pour étudier les centaines de cas de victimes libanaises des disparitions, enlèvement par les services de renseignement Syrien au Liban. Prenant en considération l'obligation des Etats membres des Nations Unies et d'autres organisations internationales afin de favoriser le respect des droits de l'homme et ses libertés fondamentales, et prendre en compte également que la Syrie avait occupé, d'une façon persistante le Liban depuis son entrée au Liban en 1976, arrêtant les Libanais niant leur droit et supprimant leurs libertés. La Syrie refuse de reconnaître son acte et de révéler le sort et le destin des retenus. Les Nations Unies devraient établir une commission d'enquête pour assurer ce qui suit :
1- La libération immédiate et sans conditions des détenus libanais en Syrie permettant en quelque sorte la vérification et confirmer leurs libérations réelles et que leurs droits soient assurés.
2- Montré le registre journalier et officiel des prisons syriennes ou les Libanais étaient et sont encore détenue. Et aussi ceux des centres de détentions des services secrets et qui virent le jour depuis 1976 jusqu'au 26 Avril 2005 ou des exécutions ont eu lieu par les services de renseignements syriens et des détenus qui sont morts dans les centres de détentions Syriens.
3- Déterrer les tombes collectives sur le territoire libanais à proximité des sièges de services de renseignements syriens et dont l’indication est très claire.
Après 2 ans de sit-in, l’espoir des familles est toujours vivifié. Les familles des victimes des violations syriennes réclament la liberté, les droits et la vie à leurs fils.
- Les détenus Libanais en Syrie: >> Voir la Vue << (2007-05-01)